lundi 14 octobre 2013

[ETAT D'AMES]

Les dentistes sont des personnes cruelles !

Les dentistes et les coiffeurs ! Je vous jure ! Je les déteste ! Tous ! Ou presque. Comment peut-on avoir pour vocation de torturer les gens derrière un air de c'est-pour-votre-bien-madame. Oui parce qu'il y a bien que les filles pour aimer aller se faire choucrouter chez la coiffeuse-commère du coin. Et elle coupe coupe tripote coupe et vous vous sentez fraiches ?! Moi je me sent mal. Je déteste ça ! Je déteste qu'on me charcute les cheveux ou la bouche. Les deux me paraisse désagréable à la même échelle. Bon après qui aime aller chez le dentiste ? Ok et maintenant, sérieusement qui a pour vocation d'être dentiste ?! Sans se mentir, c'est invraisemblables. Vous êtes des tueurs !
L'autre chose qui m'énerve au plus au point, c'est qu'on me mente. Et le pire, ce sont ces gens qui acceptent les choses, parce que c'est comme ça. On leur a menti, on les as trahis, tout s'écroule et eu il ressente juste une minable expression : "tant pis". Mais non pas tant pis ! C'est pas ça la vie ! On ne devrai pas subir les coups de pute du destin sans rien dire, comme si rien était possible ! Est ce que quelque chose est possible ? Non Camille ! Mais merde c'est vous les adultes, vous gouvernez le monde, vous êtes tous égaux. Pourquoi y a t-il encore des gagnants et des perdants ? Pourquoi rester la personne faible, ne rien dire, ne rien faire, trouvé les choses "dommage". C'est comme ça. Non stop ! Haut les cœurs! Je veux être quelqu'un ! Quelqu'un qui compte !

dimanche 13 octobre 2013

Chronique Cinématographique : PINK



Le film disponible en entier et en coréen : http://www.youtube.com/watch?v=-OWqEE23KqI
"Pink est un film coréen que vous ne verrez probablement jamais parce qu'il ne sortira jamais en France parce que c'est un film Coréen." Cela, c'est une citation de moi sur un ancien blog. Et bien apparemment je me trompais. J'ai lu dans la dernière édition des Cahiers du cinéma que ce jolie film sortirai le 23 octobre 2013 dans (quelques) salles. Alors BIM je re-update mon article !
Alors bon j'explique quand même comment moi je l'ai vu à la base dans mon cinéma, l'histoire c'est juste que c'était la semaine du festival du film asiatique. Donc une semaine complète avec un long programme de film du continent du soleil. Dans ce cadre, j'ai également vu un film qui s'appelle n°89 Shimmen Road mais j'ai comment dire pas bien accroché du tout. C'était pas très intéressant (et puis le coup de "on supperpose les sous titre français sur les sous titre anglais" bah non quoi, c'est pas bon ça !) d'après moi, beaucoup moins en tout cas que le film dont je vais vous parlez maintenant. (En faite c'est ce film précédent qui a été élu meilleur film du festival, donc je suis peut etre passé à coté de quelques choses). C'est pour ça que je vous parle de ce film maintenant. Alors Pink est un film réalisé par Jeon Su Il que j'ai eu la chance de rencontrer à la présentation de son film et puis il est venue dans notre lycée parce que c'est un mec sympas et que nos profs de cinéma l'on un peu supplier, je pense. Non mais sa lui faisait surement beaucoup plaisir c'est sur. Du coup c'était dingue d'arriver devant la salle, de voir le réalisateur et comme les gens savait pas à quoi il ressemblait ce monsieur, et bien il le bousculait comme si c'était un client et dans le fond c'était drôle. Drôle mais pas tellement, sa fais réfléchir, et on se demande si sa nous arrive pas de croiser des gens (un peu) connu sans s'en rendre contre. Après bon du coup si on les connais pas on s'en fou !  Mais moi j'ai toujours eu peur de voir des choses importantes sans m'en rendre contre ... ou alors je suis opportuniste. Non ça n'a rien à voir. Bref. Faut que je parle du film. Je vais commencer par une phrase qu'a prononcer le réalisateur : "le cinéma c'est de la poésie". Alors je suis pas d'accord complètement complètement avec cette phrase, parce qu'on peut pas résumer tout le septième art en disant que c'est un poème. Parce que dans ce cas, y a pas d'art à part en entière mais que des sous genres. Et d'ailleurs ça dépend des genres, des histoires, des films ... Mais je pense que oui, l'on peut qualifier certain film de poésie. Ce film c'est de la poésie. De la poésie asiatique. Que des plans long et gris se succèdent et s'enchaîne avec très peu de dialogue, parfois des plans vides, la caméra à l'épaule, une histoire raconter par des paysages et des corps, beaucoup de nudité souvent dérangeante. La vision est totalement différente que la notre occidentale. J'ai demandé si c'était de la provocation, parce que ma vision est celle de la Chine très pudique, mais c'est un Coréen et il a pas bien cerner ma question. Par chez nous il faut justifier la présence de se genre de scène pas forcément bien perçut que l'on qualifie vite de trop pleins d'hormones ou des trucs du genre. Ou même pas du tout, on peut juste choquer le publique, le gêner, ou le perdre. On m'a expliqué ensuite et c'était très intéressant ces histoires de rapport des corps, de chaleur, d'inceste parfois, de gens sur des toilettes ou même pas sur des toilettes ... C'est une frustration pure ! Il n'y a pas tellement d'histoire mais des personnages compliqués, avec un surplus de choix artistiques qui forment un film très spécial. Une fille casiment muette deviens employé dans un bar géré par la mère d'un enfant à problème psychologique. L'ouverture de film se fait sur une plage boueuse où ce garçon au petit nom coréen court nu sur la plage en bougeant les bras dans tout les sens, avec des mouettes autour. Cette scène d'ouverture est vraiment spéciale. C'est d'après moi elle qui donne tout son ton au film. Et en même temps elle est très jolie. Les mouettes sont une figure importante du film. Le réalisateur raconte qu'il a fait un gros travail sur le son, sur les couleurs, et sur les cadrages - souvent des sur-cadrages ... La mort de l'enfant est la scène que j'ai le plus aimé. Le rapport à la mort est étrange également, la vie continue comme si de rien n'était. L'enfant doit se cacher pour échapper à la police et se dirige vers le frigo sur la plage depuis le début du film - celui dans lequel il met des oeufs tout les jours en pensant que des mouettes vont naître - le frigo fermé et le garçon à l'intérieur, le frigo tombe et la porte se bloque. Il meurt ainsi. C'est très très beau. 

Il se réincarnera peut être en mouette.

mercredi 9 octobre 2013

Chronique Cinématographie : Quai d'Orsay

J'ai en ce jour était voir un film au cinéma. Certe. Bon. J'ai été voir Quai d'Orsay en avant première et surtout en présence du réalisateur, Bertrand Tavernier. Il faut dire que je n'apprécie pas spécialement le travail de cet homme à la base. Il fait toujours des plans magnifiques mais je trouve ses films très lent. Je n'ai un peu rien vue de lui aussi, mais ce que j'ai vue ça m'a pas trop plus. J'ai entrepris de regarder La princesse de Montpensier  parce que je l'ai lu ; et j'ai pas trop aimé le livre non  plus. En bref j'ai juste vue le début (oui en bref je disait vrai). Mais vraiment le début. Jusqu'à la scène dans la chambre à couché après le mariage, autant dire que sur deux et quelques de films, sa fais pas lourd. C'est à peu près la même chose pour Que la fête commence. Et j'ai pas trop aimé non plus, pour le coup. En revanche, j'ai vue son premier film L'Horloger de st Paul et même si ça ne parle pas du tout d'horlogerie, j'ai mieux aimé. Le coté politique en particulier, et j'ai aimé retrouvé cela dans Quai d'Orsay, un film cette fois entièrement politique. Entièrement politique, mais sans prise de parti ! Un peu sur le mode démonstratif plutôt, et montrer sous le ton de la comédie qui semble  paradoxalement inévitable. En trois mots de résumé, on suit Arthur, un petit jeune plutôt beau gosse qui, rès un "entretient d'embauche" qui ouvre le film, se retrouve "chargé du langage" par et pour le ministre des affaires étrangères, Alexandre Taillard de Vorms - joué par Bernard Lhermitte. Tout se passe dans l'immense et magnifique bâtiment du quai d'Orsay, nous emmène en 2002 (pourquoi ?) en pleins cœurs de la vie politique de tout le ministère. Ce film inspiré d'une bande dessiné et co-écrit par ses auteurs,cherche à nous immiscer dans les tumultes de la politique et des hommes qui font tourner le monde. Mais à travers des questions graves, paraissant même vital, une comédie se joue devant nos yeux, avec un ministre quelque peu extravagant, assez à coté de la plaque, qui semble aveuglé par des citations obscures de grands auteurs qui donnent d'après lui du souffle de la vie à son discours. C'est clairement un grand orateur, qui délaisse les informations capitales, leurs sens et leurs impacts. Et tout se bouscule, les hommes crient, la pression monte, les portes claques, les feuilles s'envolent, les coups de téléphones de multiplies, les réunions aussi ... Chacun se préoccupe (plus ou moins) de ses affaires, le spectateur est abasourdis, plaqué sur son fauteuil dans une impression de semi-réel caricatural. Bernard Tavernier affirme à la fin de sa projection que son film n'est en aucun cas une satire de la politique. Tout se passe comme ça en vrai, il ajoute avoir adoucis certains traits. Ce monsieur, bien que son travail ne m'intéresse pas beaucoup, m'a pour le moins captiver. Il semble avoir un avis bien arrêter sur ce qui concerne son film, mais sans avoir de message à faire passer ou alors subtilement, par exemple par rapport aux questions/réponses pré-écrite par des garçons comme Arthur, chose invraisemblable dans un système parlementaire.
En ressortant de la salle, j'ai eu une impression mitigé entre celle de sortir d'un bureau très sérieux où l'on traite de grandes choses et celle de sortir d'un bureau de fonctionnaire pas très consciencieux qui en disent plus qu'ils n'en font. J'ai aimé ce film, il m'a marqué et interrogé. Mon rapport à la politique me semble différent à présent. Et pour conclure par un mot technique, parlons choix esthétique, monsieur Tavernier c'est, comme il le dit, beaucoup amusé avec ses possibilités, notamment au montage. Je n'adhère pas au découpage de l'écran qui n'est pas très jolie en soit d'après moi. J'ai trouvé l'idée du son stéréo qui sort d'un haut parleur puis de l'autre puis de l'autre absolument formidable. Et les décors, authentique bien sur, bien sur enfin que dire ils sont magnifiques !

[ETATS D'AMES] j'abandonne sur une chaise le journal du matin, les nouvelles sont mauvaises d'où qu'elles viennent

Y a parfois des jours où ça va et parfois des jours où ça va et parfois des jours où ça va. Pas. Aujourd'hui est un jour a part. Parfois on ne sait pas trop. On suppose que oui et on espère que non. Et parfois sa reviens souvent et c'est en faite invivable. Quand je vais très bien c'est très bien. Quand je vais très mal, c'est pas très bien. Mais je le sais, je le sent, c'est profond, c'est une passion certaine. Et je pense a des jours meilleurs en me disant que même si je peux encore m'enfoncer sur des kilomètres de malheurs, j'ai quand même plus de chance de remonter à la surface. Parce que quand on va mal, on sait que ça ira mieux. Mais quand on ne sait pas on ne sait pas. Et alors on s'enfonce dans une vie morne et monotone qui branle des deux cotés mais pas là on faudrait. C'est le spleen de Baudelaire. Pas de catastrophe, juste une morosité permanente, une grisaille sans soleil, un temps où ça ne va pas à l'intérieur ni à l'extérieur. C'est un moment où il n'arrive rien ; ça ne va ni mal ni bien ou parfois mal parfois bien, parfois rien. Je déteste ce moment, où rien de passionnel de me tiraille, où aucune émotion ne semble pouvoir m'atteindre. Parfois il suffit d'un bon film, d'une cigarette, d'un bisous sur la joue, d'un cadeau tombé du ciel, d'un compliment dans la rue, d'un nouveau t-shirt (...) pour repartir. Et parfois il semblerai que même l'accumulation de tout cela ne fera que m'arracher un sourire, de grès ou de force, mais sans lendemain. Je rêve à des temps meilleur, je vis émotionnellement dans une semi Confessions d'un enfant du siècle de Musset, avec de jolie souvenir auquel je ne veux plus uniquement me rapprocher et une faible promesse d'avenir, qui me semble intéressant mais incertain. Je n'ai plus d'amour passionné dans ma vie, je ne sais pas ce que je vais faire, ni où je serai l'année prochaine, je n'ai pas de projets concrets dans un future proche. J'attends. Et parfois ça va, parfois ça va, parfois ça va pas.
 

dimanche 6 octobre 2013

Another life is comming soon babe


Let me introduce myself



Présentation final.
C'est maintenant que vous allez tout savoir. Ou pas.




Je me présente, je m'appelle Henry, je voudrais bien, réussir ma vie, être aimé ...
Mon prénom est Camille. C'est l'information que tout le monde veut savoir lors d'une rencontre. Sa donne l'impression de connaitre la personne à laquelle on s'adresse, et pourtant sa n'avance à rien. C'est juste de l'humanisme, je suppose. Disons qu'avec ces phrases plus ou moins pertinente (suivant le genre de personne que vous êtes) vous en savez beaucoup plus sur moi, que par un simple prénom - qui est déjà mieux qu'un numéro, certes. Peut être, dans un article ultérieure, je posterai un "décryptage" de mes propres propos. C'est une allitération. Se serrai narcissique. Un peu. Revenons à des choses simple. Bonjour. Je suis Camille, donc. Au moment où j'écris cela, j'ai 17 ans. Je suis en Terminal Littéraire avec option Cinéma Audio Visuel. Je suis passionné par le Septième Art. J'aime énormément la photographie. J'ai un poisson rouge sur mon bureau. Il s'appelle Napoléon. Comme le vrai, mais il n'a pas fait les même conquêtes. Je fais de l'allemand en première langue et de l'anglais en seconde langue, du coup. J'aime apprendre les langues étrangères, je trouve sa très important et très enrichissant. J'aimerai apprendre le néerlandais. J'aime énormément voyager. Je ne veux pas dire que j'aime la mode, parce que c'est très superficielle comme tournure. J'aime m'habiller assez original. Après original, c'est subjectif. Je vous souhaite une bonne visite sur mon blog, même si je sais que je placerai la présentation tout à la fin. Disons plutôt que je vous remercie d'être passé par ici. Bonne route, voyageur.

Amicalement. Camille.