lundi 15 septembre 2014

Nos souvenirs

Je veux faire partager quelque chose. En faite ce n'est plus d'actualité mais cela fait longtemps que je pensais faire cet article, et puis j'ai du oublier. Mais on y est à présent ; n'est ce pas le présent qui compte ? Oui il semble que ce soit toujours dure de commencer un article. Je vous présente le reste : voici le cadeau que j'ai offert à mon super amoureux pour nos six mois ensemble. C'est un album de photos qui reprends tout ce qu'on a pu vivre ensemble. Je l'ai très personnalisé pour lui offrir vraiment un cadeaux unique et qui nous représente tout les deux. C'est un objet qui l'a assez ému je crois. 

Présentation terminée, je me permet de donner quelques explications et conseils. En haut vous pouvez voir la couverture de l'album. En faite j'ai acheté un livre de page blanche épaisse et je n'aimais pas tellement ce que la première page représentais. L'astuce est donc de barbouiller la page, d'abord avec un adhésif sur lequel on peut écrire puis ensuite avec de la peinture. J'ai personnellement misée sur quelque chose d'abstrait, pleins de coup de peinture et d'épaisseur, pour un résultat que je trouve intéressant. Ensuite l'intérieur, totalement en liberté. J'ai collé, écrit, dessiné ...  Le matériel de base pour ce genre de projet est bien sur d'avoir tout de même quelques photos. J'ai acheté un lot de coins autocollants (donc les photos sont repositionnable) et de pastilles doubles face. Le reste n'est qu'une histoire de créativité et d'envie.


samedi 13 septembre 2014

journal intime

la vue depuis mon appartement





J'ai très envie d'écrire mais je n'écris rien.
J'ai enfin vue Matrix. C'était plutôt très bien. Je ne sais plus pourquoi j'ai attendu autant pour le voir maintenant. Mais ça reste très américain. Il faut maintenant que je vous parle un peu de mon appartement ; puis ce que je ne me suis pas encore décidé à terminer l'édition de mes photos corses. Le "déménagement" à été galère, parce que j'ai tout baladé en train. Mais mon amoureux est le plus chouette du monde et il m'a beaucoup aidé. Je suis contente d'avoir emménagé maintenant, même si je me sent un peu seule la-bas quand je suis seule la-bas. Je balance deux ou trois photos mais je n'ai rien a dire. Je ne vous montre pas tout mais un petit aperçut de ce que j'ai décoré, surtout. Tout n'ai pas finit. Pourtant j'ai envie de faire pleins de chose. De recommencer à apprendre aussi.

        


dimanche 7 septembre 2014

Des trouvailles


Il faut maintenant que je raconte des choses intéressantes mais aussi que je donne des nouvelles. En quelques mots, il y a un nombre indéfini, mais peut être grand, d'article qui devrait tomber sur mon blog prochainement. Pour commencer, il faudrait que je vous raconte mes vacances. Brièvement, je suis parti en Corse et je voudrais surtout publié des photos sauf que j'en ai en masse et qu'il faut s'occuper de tout. Ensuite, et dans cet ordre, je pense, je vous parlerai un peu de mon séjour à Paris dans mon nouvel appartement ainsi que de mon petit déménagement. Et je ferai un article "aménagement et décoration" un jour. Après j'aimerai écrire quelques mots sur le dernier film que j'ai vu au cinéma. Enfin, voilà.

Maintenant je vais commencer par la fin. Aujourd'hui, et donc récemment, j'ai été me balader dans une brocante. L'idée de base était de trouver des petites choses utiles à mon appartement. Je n'ai rien acheté de cette envergure. Mais j'ai fait des bonnes affaires. Ou pas. Donc des chaussures, que même si on ne le vois pas beaucoup, sont très jolie. Elles viennent d'Italie, je les aime déjà beaucoup je crois. Je l'ai eu pour cinq euros. Ensuite un vinyl du groupe Pink Floyd. C'est Meddle, c'est pour mon copain. C'est un super fan. La pochette représente un gros nez. Je l'ai eu pour dix euros et je crois que ce fut une bonne affaire. Et puis enfin ma tristesse absolu que j'essaie de combler : ce polaroid. Toute contente de mon joli appareille que le monsieur avait dit qu'il marchait, je suis revenue à la maison et j'ai cherché des films pour mettre dedans et rien de trouble ne semble correspondre avec mon Polaroid Colorpack 80. 

Je suis toute pleine de chagrin maintenant.

lundi 1 septembre 2014

Sous la peau de Lucy



Je ne sais pas encore dans quelle mesure je réalise un blasphème en télescopant Under the skin de Jonathan Glazer et Lucy de Luc Besson. Cela  apparaît comme une évidence, pourtant. Au delà de la belle Scarlett Johansson que je jalouse infiniment et qui envahit nos écrans, de partout, il y a pour moi un véritable diptyque cinématographique. Blonde d'un coté et brune de l'autre, l'aventure semble pourtant se croiser : une alien venue sur terre se confronter au humain avec un air froid et bizarroïde et une femme drogué qui carbure à pleine puissance cérébrale avec un air froid et bizarroïde ! Coïncidence ? Je ne crois pas. J'apporterai une nuance sur la drogue dans Lucy (à prendre au sens littérale et figuré)  parce que ce n'est pas un film de drogué ; non ça s'apparenterai plus à une sorte de Macguffin : c'est la drogue qui révèle la jeune femme et la rend surpuissante. De l'autre coté notre Scarlett et sa bouche hébété en permanence  parce que le jeu d'actrice est juste le même exactement, n'est pas un petit génie en herbe mais une alien venue de haut dans le ciel pour chasser les hommes et nourrir sa planète  ou quelque chose dans le genre. Ce qui peut unir les film serait alors bien le personnage de la superbe femme fatale et froide, encore un retour à Hitchcock, mais surtout pour changer, totalement venue d'ailleurs. Il y a comme une force qui pèse sur ces deux films, quelque chose de surélevé : de la transcendance.  



Malgrès ce début d'article un peu sarcastique, j'ai adoré ces films. Il faut préciser. Je n'ai pas complètement compris l'engouement qui s'est créée autour d'Under the Skin que j'ai trouvé certes bizarre mais pas miraculeux. En faite je pense que c'est Lucy qui peut permettre de comprendre cela. C'est un film américain avec ses codes et ses scènes de bagarres pour faire plaisir mais je trouve qu'il y a une dimension psychologique et philosophique très intéressante. Que sommes nous dans l'univers à part des créatures incapable d'utiliser un dixième des capacités qui nous sont donnés ? Le message est très négatif. Lucy apparaît comme la renaissance de l'espèce humaine, comme la seconde première femme à exister  il est d'ailleurs intéressant de noter que c'est une femme. Lucy dévoile donc une question existentiel sur notre positionnement humain. Je suis sorti toute tremblante de la salle en dévisagent les créatures humaines qui passaient dans la rue : une véritable expérience cinématographique. Je regrette néanmoins d'avoir vue Under the Skin avant parce qu'il m’aurait peut être bouleversé si j'avais eu les codes que m'ont inculqué Lucy qui reste un film américain et qui aurait pu être plus audacieux : les images de l'univers sont magnifiques mais l'autre film en propose des encore plus superbe peut être. Dans une harmonie complètement, j'aimerai pouvoir les entre-mêler et les regarder ensemble avec des yeux d'humain et d'artiste. Avec ces deux films je ressort changé, j'ai une image du monde différente, avec plus de recul, quelque chose de nouveau et de palpitant.